Bonjour à tous,
Je sais pas si plusieurs ont ce sentiment, mais quand je lis les articles dans le nouvelliste, je me dis que l'apchq et Inspec-sol m'en on peut-être passé une ptite vite. On ne sait plus à qui se fier dans ce dossier. Quelqu'un peut-il me dire c'est où que l'on voit le fameux pourcentage de pyrhotite dans le gros rapport d'Inspec-sol ? Encore à matin dans le nouvelliste, un expert vient dire que pratiquement tous les bâtiments avec un taux de pyrhotite de 0.30 % vont avoir des problèmes. J'ai beau relire mon rapport je ne vois pas ce taux indiquer clairement.
J'ai été sous observation pendant plus de 2 ans, actuellement on a que de petites fissures verticale et après 2 carottages, voici les conclusions de notre rapport Inspec-Sol. 1) absence de signe de détérioration du béton attribuable au phénomène d'expansion du béton...2) 0.22 % à 0.30 % de soufre dans le béton des murs de fondation 3)0.13 % à 0.30 % de soufre dans le gros granulat 4) que les plaques polies montrent la présence de 0.43 % de sulfure de fer en moyenne 5) que les gros granulats ne correspondent pas à ceux retrouvés dans le massif d'anorthosite de St-Boniface....nous considérons qu'il n'y a pas de risque que le phénomène d'expansion du béton se développe dans les murs de fondation de ce bâtiment. (construit 2005, béton maskimo)
Quand j'ai reçu le rapport, on était soulagé, puisque pour qu'une firme d'ingénieurs en vienne à conclure qu'il n'y a pas de risque....c'est que ça doit être vrai.
Mais quand je vois les articles en a plus finir sur la pyrhotite, et que là on mentionne que les gens ne peuvent vendre leur maison, même avec ce genre de rapport, que les gens vont avoir des problèmes quand même dans les années à venir, je me dis me suis-je fait avoir ? Je ne crois pas qu'une maison puisse avoir un taux de 0 % en pyrite et pyrhotite dans notre région, donc il doit forcémment avoir un pourcentage qui n'est pas dangereux et problématique. Quand je regarde la maison de mon père qui a été bâti en 1971, et bien des fissures sur son solage il en a en svp et pourtant il n'est aucunement inquiet de la pyrhotite, il me dit toujours...c'est normal que sa fissure avec le temps, c'est du béton après tout.
Une chose que je suis certain à 100 %, c'est que ma maison ne vaut jamais le prix de l'évaluation de la ville. Avec tout ce qui ce dit sur la pyrhotite ces jours-ci, dès que je vais montrer mon rapport à un acheteur potentiel, même si l'ingénieur conclu à aucun risque, l'acheteur va se sauver en courant car on voit le mot pyrrhotite pratiquement à chaque page. Qui va oser prendre un risque d'acheter une telle maison ?
Est-ce que les gens comme moi qui se font dire par inspec-sol qu'ils n'auront pas de problème, mais que dans la réalité c'est autre chose...baisse de valeur marchande, difficulté à vendre, évaluation municipale élevée, aucun congé ou rabais de taxe depuis le début où le problème a été déclaré, assureur qui ne couvre plus les dégâts d'eau...ont un recours quelconque pour recevoir un dédommagement ou bien on doit s'arranger tout seul avec nos problèmes.
Je ne suis pas dans le recours actuel, car après m'être informé, on m'a dit que tant que l'apchq n'avait pas statué que nous avions un problème de pyrrhotite, on ne pouvait faire parti du recours collectif.
Merci et bonne journée à tous
Je sais pas si plusieurs ont ce sentiment, mais quand je lis les articles dans le nouvelliste, je me dis que l'apchq et Inspec-sol m'en on peut-être passé une ptite vite. On ne sait plus à qui se fier dans ce dossier. Quelqu'un peut-il me dire c'est où que l'on voit le fameux pourcentage de pyrhotite dans le gros rapport d'Inspec-sol ? Encore à matin dans le nouvelliste, un expert vient dire que pratiquement tous les bâtiments avec un taux de pyrhotite de 0.30 % vont avoir des problèmes. J'ai beau relire mon rapport je ne vois pas ce taux indiquer clairement.
J'ai été sous observation pendant plus de 2 ans, actuellement on a que de petites fissures verticale et après 2 carottages, voici les conclusions de notre rapport Inspec-Sol. 1) absence de signe de détérioration du béton attribuable au phénomène d'expansion du béton...2) 0.22 % à 0.30 % de soufre dans le béton des murs de fondation 3)0.13 % à 0.30 % de soufre dans le gros granulat 4) que les plaques polies montrent la présence de 0.43 % de sulfure de fer en moyenne 5) que les gros granulats ne correspondent pas à ceux retrouvés dans le massif d'anorthosite de St-Boniface....nous considérons qu'il n'y a pas de risque que le phénomène d'expansion du béton se développe dans les murs de fondation de ce bâtiment. (construit 2005, béton maskimo)
Quand j'ai reçu le rapport, on était soulagé, puisque pour qu'une firme d'ingénieurs en vienne à conclure qu'il n'y a pas de risque....c'est que ça doit être vrai.
Mais quand je vois les articles en a plus finir sur la pyrhotite, et que là on mentionne que les gens ne peuvent vendre leur maison, même avec ce genre de rapport, que les gens vont avoir des problèmes quand même dans les années à venir, je me dis me suis-je fait avoir ? Je ne crois pas qu'une maison puisse avoir un taux de 0 % en pyrite et pyrhotite dans notre région, donc il doit forcémment avoir un pourcentage qui n'est pas dangereux et problématique. Quand je regarde la maison de mon père qui a été bâti en 1971, et bien des fissures sur son solage il en a en svp et pourtant il n'est aucunement inquiet de la pyrhotite, il me dit toujours...c'est normal que sa fissure avec le temps, c'est du béton après tout.
Une chose que je suis certain à 100 %, c'est que ma maison ne vaut jamais le prix de l'évaluation de la ville. Avec tout ce qui ce dit sur la pyrhotite ces jours-ci, dès que je vais montrer mon rapport à un acheteur potentiel, même si l'ingénieur conclu à aucun risque, l'acheteur va se sauver en courant car on voit le mot pyrrhotite pratiquement à chaque page. Qui va oser prendre un risque d'acheter une telle maison ?
Est-ce que les gens comme moi qui se font dire par inspec-sol qu'ils n'auront pas de problème, mais que dans la réalité c'est autre chose...baisse de valeur marchande, difficulté à vendre, évaluation municipale élevée, aucun congé ou rabais de taxe depuis le début où le problème a été déclaré, assureur qui ne couvre plus les dégâts d'eau...ont un recours quelconque pour recevoir un dédommagement ou bien on doit s'arranger tout seul avec nos problèmes.
Je ne suis pas dans le recours actuel, car après m'être informé, on m'a dit que tant que l'apchq n'avait pas statué que nous avions un problème de pyrrhotite, on ne pouvait faire parti du recours collectif.
Merci et bonne journée à tous